Yves Dimier, calligraphie contemporaine
La calligraphie est en principe réservée à des représentations dépourvues de ressemblance extérieure comme en possèderait n’importe quel modèle en peinture figurative. Ici le calligraphe s’inspire de dessins d’après modèles vivants et pourtant le trait exprime ses variations dans le champ scriptural. Quand la forme apparaît le temps écoulé suffirait à écrire une petite phrase. Pour Yves Dimier, peindre c’est écrire le sens.
Ce n’est pas le tableau qui compte.
C’est le geste.
Le geste est éphémère.
Le trait sa conséquence.
Celui qui crée le geste va chercher dans les dimensions profondes de soi, celles où sont étendus des océans de paix, d’amour, d’élévation, pour montrer la voie à celle et celui qui regarde.
Il y parvient avec plus ou moins de succès.
Seul le chemin compte
Yves Dimier
Calligraphie contemporaine : Où commence l’écriture et où finit le dessin ?
Sans produire une représentation fidèle de ses modèles, Yves Dimier nous livre un point de vue de leur apparence, disons plutôt de leur existence. Une allégorie que les peintres asiatiques désignent comme « le contour intérieur des choses ». Il extrait de sa vision une empreinte plus globale de la réalité. Au-delà du visible, l’image semble contenir une part invisible, on perçoit des traits qui n’existent pas.
Lorsqu’il trace ses calligraphies contemporaines, Yves cherche évidemment à évoquer la forme, mais conjointement une grande partie de cette expiration passe par le sens, un peu comme si les linéaments de l’encre figuraient les mots d’une poésie. Ce sont des dessins écrits.
Calligraphie contemporaine : Où commence l’écriture et où finit le dessin ?
Sans produire une représentation fidèle de ses modèles, Yves Dimier nous livre un point de vue de leur apparence, disons plutôt de leur existence. Une allégorie que les peintres asiatiques désignent comme « le contour intérieur des choses ». Il extrait de sa vision une empreinte plus globale de la réalité. Au-delà du visible, l’image semble contenir une part invisible, on perçoit des traits qui n’existent pas.
Lorsqu’il trace ses calligraphies contemporaines, Yves cherche évidemment à évoquer la forme, mais conjointement une grande partie de cette expiration passe par le sens, un peu comme si les linéaments de l’encre figuraient les mots d’une poésie. Ce sont des dessins écrits.